voilà:j'ai un probleme avec une dissert de philo( en TS) sur le sujet:peut-on nier l'evidence?(désolé pour la longueur de mon message, mais j'ai lu qu'il fallait donner des pistes au cyberprof) j'aurai pensé faire un plan dialectique thèse-antithèse et peut-être synthèse si je trouve des idées.mais c'est ma première dissert de philo, et le prof nous a donné pour seule méthode une photocopie qu'on a même pas lu en classe, et qui ne m'avance guère.Je pense donc que j'ai surtout un problème de méthode, ne sachant pas comment présenter les arguments, quels types d'arguments, la faible importance des exemples impérative en philosophie ne m'aide pas d'ailleurs.Merci d'avance de lire mon ébauche de plan provisoire. Donc mon plan serait: I.on ne peut pas nier l'evidence, avec 1.Descartes, pour qui l'évidence est le critère parfait de la vérité, le caractère des "idées claires et distinctes","elle se présente si distinctement et si clairement qu'on ne peut pas la mettre en doute" objets nés de l'intuition. (Mais le problème, c'est que j'ai recopié le"philosophie de A à Z", et Descartes présente une contradiction que je n'arrive pas à lever:il admettra qu'on peut nier l'évidence. II.On peut nier l'evidence 1.l'épistémologie, avec la négation de l'évidence comme moteur de la recherche, des évidences comme l'absolu de l'espace et du temps (relativité d'Einstein), négation en géométrie, avec les géométries non euclidiennes, ce qui nous amène à l'évidence comme fondation de toute démonstration (postulat). 2.De là, on peut même évoquer le théorème de Gödel, qui démontre qu'une proposition n'est pas seuleument soit vraie, soit fausse, mais aussi indéterminée(paradoxe du menteur), et que l'on sera toujours loin des parfaites mathépatiques de Descartes totalement unifié, et donc qu'il éxistera toujours des "trous" dans les démonstrations, et donc que le système hypothético-déductif cartésiano-euclidien s'effondre 3.une propriété de l'évidence: c'est qu'elle n'est pas démontrable, c'est un critère trop subjectif, comme le souligna Leibniz(j'ai vu cela dans l'A à Z de la philosophie) de là je peux (si ce n'est pas hors sujet?), passer de la subjectivité de l'évidence à l'évidence comme illusion de la vérité.Il serait aisé à partir de là de philosopher sans fin (de quoi remplir du papier!)sur les préjugés provenant de conclusion trop hâtives, se fiant au bon sens des foules(exactement le thème que j'aurai cru entendre en cours, avec des textes de Russell, Bacon), et sur le bien-fondé du scepticisme et du doute philosophique IIIsynthèse l'Empirisme?, je n'ai pas compris"l'évidence n'est pas intellectuelle mais sensible" remarque:ce plan est le même que celui de "la philo de A à Z, Hatier", à part mes idées sur l'épistémologie, ma dissertation se résume à une paraphrase du livre, ce qui ne mérite qu'une note médiocre. " |
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