Bonjour, J’ai un commentaire de texte d’Alain à faire. Le voici : « La liberté des opinions ne peut être sans limites. Je vois qu’on la revendique comme un droit tantot pour une propagande tantot pour une autre. Or, on comprend pourtant bien qu’il n’y a pas de droit sans limites ; cela n’est pas possible, à moins que l’on ne se place dans l’état de liberté et de guerre, où l’on peut bien dire que l’on se donne tous les droits, mais où, aussi, l’on ne possède que ceux quecl’on peut maintenir par sa propre force. Mais dès que l’on fait société avec d’autres, les droits des uns et des autres forment un système équilibré ; il n’est pas dit du tout que tous auront tous les droits ; il est seulement dit que tous auront les mêmes droits et c’est cette égalité des droits qui est sans doute la forme de la justice ; car les circonstances ne permettent jamais d’établir un droit tout à fait sans restriction ; par exemple il n’est pas dit qu’on ne barrera pas une rue dans l’intérêt commun ; la justice exige seulement que la rue siot barrée aux mêmes conditions pour tout le monde. Donc je conçois bien que l’on revendique comme citoyen, et avec toute l’énergie que l’on voudra y mettre, un droit dont on voit que les autres citoyens ont la jouissance. Mais vouloir un droit sans limites ca sonne mal. » INTRODUCTION : Le premier article de la Constitution française de 1789 reconnaît que « les hommes naissent libres et égaux en droit ». En effet tout homme a la possibilité de faire ce qu’il lui plait sans contrainte extérieure. Cependant leur est-ils permis de tout faire même eu détriment d’autrui ? Selon Alain, philosophe français du XIX-XX siècles, toute liberté a des limites. On peut décomposer ce texte en 3 parties. Dans la 1ere partie (l.1 à l.10 : « La liberté .... ses propres forces »),, l’auteur affirme que toute liberté n’est pas infinie : chacun ne fait pas cer qu’il veut quand il veut. Dans la 2ème partie (l.10 à l.22 : « Mais dès que .... pour tout le monde »), Alain nuance ses propos en disant que si tout homme n’a pasla liberté absolue, chacun possède les mêmes droits. Dans la 3ème partie (l.23 à l.éme : « donc je ..... ça sonne mal »), l’auteur amène la conclusion de ce texte en réaffirmant sa position. Dans une 4ème partie nous verons l’intérêt philosophique de ce texte. DEVELOPPEMENT : Pour le développement de ce texte, j’ai pris les phrases une par une, puis donnée la définitions des mots de cette phrase.Par exemple, j’ai défini des mots tels que : liberté, opinion, limites, droit, société, justice, ... Ensuitej’ai expliqué la phrase avec mes propres mots. Ainsi pour la 1ère phrase du texte ( « La liberté des opinions ne peut être sans limites »), j’ai écrit , en plus de la définitions des mots : on peut se permettre de porter un jugement sans fondement rigoureux sur quelqu’un cependant cela comporte des limites, on ne doit pas dépasser un certain point : on ne doit pas dnuire à autrui, il faut également le respecter. Cette phrase apporte une certaine nuance au fait que dans une démocratie les individus possèdent le liberté de prese et d’opinion. On peut prendre comme exemple pour illustrer ce que dit l’auteur une citation : « Ma liberté s’arrête là où commence celle d’autrui. J’ai fait ainsi pour toutes les autres phrases du texte. Par ailleurs je na sais pas ce qu’il faut mettre dansl’intérêt philosophique. Je ne comprend pas ce que c’est. Pouvez-vous m’aidez pour ce texte ? Pouvez-vous me dire si ma introduction esr correcte et si je procède correctement pour le développement ? Merci " |
|||||
... |
Connectez-vous pour consulter les réponses du CyberProf