Bonjour, je souhaiterais obtenir votre aide dans le but de trouver la thèse de l'auteur dans ce texte : Le mot du langage commun est à la fois trop riche (il déborde de loin le concept par son ancienneté traditionnelle, par l'ensemble de violences et de cérémonies qui constituent sa "mémoire", son "passé vivant") et trop pauvre (il est défini par rapport à l'ensemble de la langue comme détermination fixe de celle-ci et non comme possibilité souple d'exprimer le neuf). Dans les sciences exactes, quand le neuf surgit, le mot pour le nommer est inventé simultanément par quelques-uns et adopté rapidement par tous (...). Mais l'écrivain - bien qu'il lui arrive d'inventer des mots - a rarement recours à ce procédé pour transmettre un savoir ou un affect. Il préfère utiliser un mot "courant" en le chargeant d'un sens nouveau qui se surajoute aux anciens : en gros, on dirait qu'il a fait voeu d'utiliser tout le langage commun et lui seulement, avec tous les caractères désinformatifs qui en limitent la portée. Si l'écrivain adopte le langage courant, ce n'est donc pas seulement en tant que le langage peut transmettre un savoir mais aussi en tant qu'il ne le transmet pas. SARTRE Comme je vous l'ai signifié au-dessus, je ne parviens pas à trouver la thèse de ce texte, par conséquent je ne peut qu'élaborer partiellement mon introduction (le découpage est déja fait). De plus, je suis aussi bloquer en ce qui concerne l'annonce du commentaire (accessoirement le commentaire lui-même aussi, pour l'instant) car je n'ai aucun problème à "soumettre" à l'auteur du fait que je ne vois vraiment pas la thèse qu'il défend ici. La raison pour laquelle je ne la trouve pas est que je ne comprend pas le texte, du moins en partie. Ainsi le thème est bien le langage et je vois a peu près ce que Sartre veut dire jusqu'au "Mais", après le reste est flou. Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous remerci d'avance. |
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