Bonjour, Suite à votre réponse, je vous fais parvenir de plus amples détails : N'ayant pas les référence exacte du texte je vous l'ecris en toutes lettres : "La force semble être l'injustice même; mais on parlerait mieux en disant que la force est étrangère à la justice; car on ne dit pas qu'un loup est injuste. Toutefois le loup raisonneur de la fable est injuste car il veut être approuvé; ici se montre l'injustice, qui serait donc une prétention d'esprit. Le loup voudrait que le mouton n'ait rien à répondre, ou tout au moins qu'un arbitre permette; et l'arbitre, c'est le loup lui-même. Ici les mots nous avretissent assez; il est clair que la justice relève du jugement, et que le succès n'y fait rien. Plaider, c'est argumenter. Rendre justice, c'est juger. Peser des raisons, non des forces. La premère justice est donc une investigation d'esprit et un examen des raisons. Le parti pris est par lui-même l'injustice; et même celui qui se trouve favorisé, et qui de plus croit avoir raison, ne croira jamais qu'on lui a rendu bonne justice à lui tant qu'on a pas fait justice à l'autre, en examinant aussi ses raisons de bonne foi; de bonne foi j'entends en leur cherchant toute la force possible, ce que l'institution des avocat réalise passablement." Ma question porte donc sur la dernière partie du texte "Le parti pris [...] passablement"... Je souhaiterais que vous puissiez m'en expliquez le sens ... D'autre part je souhaiterais que vous m'indiquiez les différentes voies que l'on peut suivre pour donner en deuxième partie du devoir (après l'explication ordonnée du texte) . C'est à dire une partie d'expression personnelle en rapport avec le texte ... Sa portée philosophique par exemple ... Merci. |
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