Bonjour à vous, je m'appelle Lionel. Je dois rendre pour lundi un commentaire du texte de Spinoza : Éthique, livre III, scolie de la proposition II, dans le cadre de la thématique que nous étudions actuellement, à savoir le désir. Je vous joins le texte à ma question, qui est la suivante : Sur quelle problématique ou question démarrer mon commentaire ? Le texte me paraissant relativement difficile, avec des tournures de phrases à rallonge, j'ai peur de faire un malheureux contre sens. Néanmoins, j'ai déjà élaboré quelques pistes, et dégagé les notions du désir et de la liberté de l'homme. Voici mes pistes : -Le désir entrave-t-il la liberté humaine ? -Etre libre est-ce agir selon ses désirs ? ---> J'attend ainsi de votre part une question dans ce style, susceptible d'ouvrir mon devoir ! D'autre part, j'ai aussi dégagé plusieurs thèmes dans ce texte : le rôle de "l'expérience"dans "l'opinion publique", le rôle du souvenir dans le contrôle des désirs, l'illusion de liberté que connaissent les hommes... Je souhaiterais aussi que confirmiez ou infirmiez ces pistes, et qu'eventuellement vous me présentiez celles que je n'aurai jusqu'à lors pas vu. J Je bloque ainsi sur l'influence de l'expérience dans l'opinion publique, notamment lorsque Spinoza affirme : "...s'ils ne savaient par expérience que nous accomplissons plus d'un acte dont nous nous repentons ensuite...", cette tournure reste a mon entedement relativement obscur... Enfin, au niveau de la compréhension générale, j'ai decelé un certain déterminisme chez Spinoza, qui ici s'oppose au libre arbitre de Descartes que j'ai étudié au début de l'année. A premiere vue, l'homme ne serait pas libre. Pourriez-vous enfin m'indiquer des nuances que je suis pratiquement sûr d'avoir raté ? Merci beaucoup, en espérant que ma question soit assez complete pour que vous puissiez me faire avancer, et que votre réponse le soit également ;)
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