Salut ! J'aimerais que l'on m'aide parce qu'il y a deux passages que je ne comprends pas dans ce roman. J'avais demandé à ma prof mais elle n'a pas su m'expliquer clairement ce qu'elle en pensait. Le premier passage est dans la deuxième partie chapitre 5, à la page 182-184 (collection folio), de "Je l'avais pris par le collet de sa soutane." à "Lui aussi, on le condamnerait". Je ne demande pas un plan parce que j'en ai un relativement chouette mais juste qu'on m'explique ce que pense Meursault dans ce passage; surtout "cette petite aube où je serrais justifié" (que veut dire "je serrais justifié"?) et un peu plus bas de "du fond de mon avenir, pendant toute cette vie ..." à "les années pas plus réelles que je vivais." (p.183). Et à la page 184, Meursault parle de condamnés, que "lui aussi, on le condamnerait", mais pourquoi parle-t-il de condamnation puiqu'il est athé ? Il n'y a donc pas de condamnation de Dieu . Le second passage dont j'ai du mal à saisir le sens est la fin de l'oeuvre (p.185-186) de "Lui parti, j'ai retrouvé le calme" à la fin du roman. Mais surtout les phrases "elles annonçaient le départ pour un monde qui m'était à jamais indifférent" et "je m'ouvrait pour la première fois à la tendre indifférence ..." jusqu'à la fin. Merci mille fois de m'éclaircir car en ne comprenant pas bien cette fin de roman, je risque d'être pénalisé le jour de l'oral, le 26. Merci ! Bises ... Oh! Ze crwa kzé vu un ros minet....... Titi*" |
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