Tout se passe en efforts pour éloigner la vérité de ces lieux qui revient pour pleurer sans cesse ur tout le monde ; on a beau faire, on a beau boire, et du rouge encore, épais comme de l’encre, le ciel reste ce qu’il est là-bas, bein renfermé dessus, comme une grande mare poour les fumées de la banlieue. Louis-Fernidand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. (1) Restes ramassés d’un repas. Première partie 1- Relevez puis commentez les éléments conctituant le principal réseau lexical du texte. (2) è Champs lexical de la misère : « ébauches des rues », « chemises des pauvres », « grand abandon mou », « grand errière en boîtes à ordures », « puer », « moisit », « petits morveux rachitiques », « pauvreté », « pleurer sans cesse ». Ce chanps lexical évoque ce que Ferdinany a ressanti pendant la guerre. 2 - Repérez la figure de style dans l’expression « son grand derrière en boîtes à odures » et xpliquez son sens. (2) è Je n’ai pas du tout compris cette expression. Seconde partie Vous ferez de ce texte un commentaire composé (16) I - Le malheur qu’a ressenti Ferdinand pendant le guerre a- une idée de tristesse bien présente II - Un hypocrisie bien présente a- une hypocrisie envers sa mère Comme vous pouvez le constater je n’ai pas beaucoup d’idée. Le fait que je ne comprennes pas le texte y est pour beaucoup alors si vous pouvez m’aider je vous en serait très reconnaissante. Cordialement. Melle POINSOT Flavie. FlavieP@wanadoo.fr " |
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