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| LA LECON TEXTE 2 p.97 à 116 Le professeur et élève. Les formules de politesse, les enchainements d’une réplique à l’autre. « si cela ne vous ennuie pas je ne suis que votre serviteur, je suis à votre disposition ……excusez-moi. » L’excès de politesse révèle un effet satirique. Périphrase : examen sommaire pour dégager la voie future. L’amour est le thème abrégé de la chanson. Cherchez pourquoi il y a affinité entre le thème de l’amour et le genre de la chanson. La chanson et l’amour. La chanson = l’amour. Ce n’est pas le seul thème : histoire marseillaise. Vie sociale : chanson de toile au moyen âge, chorale ouvrière. Variété des niveaux de lecture. Public naif ou averti. Questions : réponses entre le professeur et l’élève. : pouvons- nous commencer ? voulez-vous ? Etude du langage non verbal qui se superpose au dialogue. On retrouve le langage non verbal dans les didascalies, lueur dans les yeux vite éteinte, un geste qui réprime. Le désir du professeur commence à se manifester lorsque l’expression à notre disposition lui suggère que l’élève s’offre à lui. Il se frotte les mains. Ceci exprime la satisfaction du professeur. Ces gestes sont en accord avec sa réplique : bon est fortement lié au corps. L’effet produit par la présence de la bonne. La présence d’un tiers modifie le rapport que le professeur établit avec l’élève pour que ce rapport soit efficace il ne doit pas être perturbé par une présence étrangère. Au théâtre nous sommes dans une situation analogue pour que le spectateur s’inquiète il suffit qu’une personne sur scène devienne à son tour spectateur. La bonne observe la leçon sous prétextes futiles. Une menace pèse rendue sensible par les avertissements qu’elle profère et les propos décousus, hésitants du professeur qui devient agressif. Les jeux de mots dans cette scène : formule de politesse pour l’élève équivoque pour le professeur, d’où le quiproquo. Les répliques jargonnantes, burlesques met le jeu inquiète le spectateur à cause de la présence de la bonne. La réplique en forme d’avertissement de la bonne est insérée entre des sorties et des entrées répétées, action mécanique d’un personnage grotesque. Complément Hatier : Le professeur propose de commencer par une leçon d’arithmétique, matière qui fait partie du doctorat total que la jeune élève veut préparer. La leçon porte sur des notions d’une grande facilité comme l’addition et la soustraction de façon quelque peu inquiétante le maître essaie de concrétiser ces explications en partant du nez, des oreilles et des doigts de l ‘élève. Celle-ci n’arrive pas à saisir des données pourtant fort simples mais par contre à la grande surprise du professeur parvient à trouver immédiatement le résultat d’une multiplication complexe qui atteint le chiffre astronomique. Le spectateur commence à comprendre qu’il assiste à une leçon d’un caractère spécial tandis que le professeur auquel la bonne adresse de mystérieux avertissements perd progressivement son calme et gagne peu à peu en assurance. Merci d’apporter une aide pour ce texte. |
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