Voici le sujet : "L'oeuvre de Rabelais est probablement la plus difficile de la littérature française. Mallarmé est aisé à côté, mais cela n'empêche nullement le Pantagruel, le Gargantua et leurs suites d'avoir pu rester parmi les livres les plus populaires. C'est que, contrairement à un préjugé répandu, il n'y a nulle opposition [...]. L'homme du peuple, comme le savant, sait que le langage a une épaisseur, qu'il nous résiste, qu'il faut faire un effort [...] pour "rompre l'os" si l'on veut "sucer la substantifique moëlle" Vous réfléchirez à ce jugement de Butor et d'Hollier sans vous limiter à Rabelais et à Mallarmé. ------------------------ Que pensez vous du plan que j'ai adopté ? J'ai beaucoup de mal à formuler un problématique (qui doit être l'articulation de 3 ou 4 notions, selon la prof) 1-Il y a opposition apparente entre les oeuvres "savantes" (vues comme difficile) et celles qui sont qualifiées de "populaire" 2-Pourtant, le dépassement de ce paradoxe est possible 3-Le langage (dans sa diversité) joue un rôle majeur dans le devenir d'une oeuvre |
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