Bonjour tout le monde! j'ai une dissertation à rendre en littérature comparée. En vous appuyant sur les trois ½uvres étudiées, illustrez la phrase suivante de David Sierakowiak, extraite de son Journal du ghetto de Lodz (1939-1943) : « Il n’y a plus d’issue ». Les trois oeuvres sont: Le journal de Rutka Les cahiers d'Abram Cytryn Une enfance au ghetto de varsovie de Larissa Cain Pourriez-vous me donner vos suggestions quant à mon plan s'il vous plaît? Merci pour votre aide. Où j'en suis : Problématique: Qu'est-ce qui poussent ces jeunes gens à écrire après un évènement aussi traumatique? Plan: I] Un espace délimité et clôt : les ghettos. a) Un espace militairement gardé. b) Sensation d’étouffement. II] Aucune échappatoire possible : si ce n’est pas la faim, la maladie qui les tuent, c’est le camp de la mort. a) La constance présence de la mort dans les esprits (Rappel : le cimetière). b)« Sensation de la fin ». III] Une écriture qui leur permet de s’évader mais seulement un temps puisqu’ils reviennent nécessairement à la dure réalité. a) Une volonté de laisser son témoignage. b) Ecrire est un exutoir à la violence |
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