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| Bonjour, Veuillez trouver, ci-joint, ma synthèse suite à nos différents échanges. Merci de votre aide pour la correction. Le progrès scientifique en génétique sous l'angle du cloange et de l'eugénisme pose inévitablement le problème des conséquences et les dérives de cette science. Les quatre documents qui composent ce dossier nous le montrent. Tandis que Catherine Vincent auteur de “Les chemins de la perfection”, et le caricaturiste Brouck, nous met en garde contre une dérive possible de l'eugénisme et du clonage, Jean-Michel Truong de “La reproduction interdite » Ploon, 1989 dénonce l'acceptation de tous, Robert Clarke dans « Les Enfants de la science », 1984 Ed. Stock nuance arguant le bon et mauvais côté de cette science. Mais qu'en est-il vraiment, peut-on laisser toute liberté à la recherche et aux scientifiques ou doit-on l'encadrer ? Si certains de ce auteurs nuancent la dérive et les risques liés à la génétique d'autres sont catégoriques et avancent la déshumanisation et la catastrophe possible. La révolution scientifique semble devenir la plus importante jamais connue, à cause des conséquences des travaux biologiques et génétique en cours et à venir (plus de conséquences que les sciences des siècles passés comme la chimie ou la physique). C'est par exemple à cette fascination de la nouveauté de la découverte « tout nouveau, tout beau » qu'on ne voit pas le mal au début, on privilégie le progrès sur tout le reste. Mais sommes-nous posés les bonnes questions notamment toutes celles liées à l'humanité. Quel statut pour un clone par exemple ? Les conséquences des risques et dérives liés à la génétique peuvent être nombreux. En effet, selon Catherine Vincent bientôt la génétique servira à choisir la façon dont on veut que ses enfants soient, optant pour une taille d'athlète, ou pour une supposée sensibilité musicale... elle va même plus loin en distinguant ceux qui pourront le faire financièrement et ceux qui ne le pourront pas, de ce fait, il y aura un différenciation selon les moyens des personnes. De même que le caricaturiste Brouck, Des espoirs, mai 1998 critique par l'image l'eugénisme et le clonage et leur banalisation : on choisit un enfant comme on fait son marché (sur le prix, la qualité etc ... au milieu des autres denrées). Cette caricature nous montre bien le dangerosité de cette dérive sous forme d'un aspect commercial inhumain : la vie, la procréation devient « un marché » Comment en est-on arrivé là ? Par fascination de la technologie nouvelle qui nous retire toute lucidité, par manque d'anticipation. Dans l'extrait du romain de science fiction « la reproduction interdite » l'auteur nous développe les causes, la façon dont cela est arrivé et met en garde contre les dérives de ces pratiques sur le mode « on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas » autant il dénonce l'idée elle même que son existence et son acceptation dans la vie de tous les jours, pour lui, tout le monde savait, et connaissait les dérives et dangers, mais personne n'a voulu voir et dire. L'homme devait pouvoir prévoir ces dérives et les empêcher mais ne l'a pas fait. Pour autant, les scientifiques qui au nom de la liberté veulent pouvoir chercher sur tout et n'acceptent pas de limites, poursuivent donc dans cette direction. Certes il y a du bon et du mauvais dans la science et les craintes sont justifiées. Mais doit-on les laisser poursuive ? Robert Clarke souligne que c'est la société toute entière qui doit prendre en main le destin de la recherche scientifique et la guider pour éviter les erreurs et les drames. Malheureusement le grand public ne peut répondre et rancher aujourd’hui, car les sujets sont trop pointus,c'est un domaine qui va vite, etc... A ce stade il se demande si toute recherche est bonne à mener, malgré les conséquences négatives éventuelles. Si le progrès scientifique en génétique sous l'aspect du clonage et de l'eugénisme a pris une place importante dans le monde d'aujourd’hui, cette révolution inquiète bon nombre d'intellectuel. Certes, la démarche scientifique dans ce domaine n'est pas une démarche confortable mais elle est peut-être la solution pour dépasser la connaissance pour acquérir la sagesse. Mais un meilleur encadrement de cette pratique ne serait elle pas la meilleure solution pour éviter toutes dérives possibles? La solution est peut-être à la portée de tous |
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Ce message est peut-être destiné à Frank ANDRAL la personne à qui je pense que j'ai envoyé un corpus de 4 documents. Mais je n'ai pas son adresse mail. Je suis nouvelle, et je ne sais pas comment cela fonctionne exactement. En fait, j'ai adressé une question, j'ai eu une réponse de quelqu'un. De qui ? je ne pourrais vous le dire. Comment pourrais-je le savoir puisque le destinataire n'est indiqué nulle part. Par exemple votre mail ici ne comporte pas votre identité. | |||||
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// admin | |||||
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